Lors du match entre Maccabi Tel Aviv et Paris, qui s'est soldé par une victoire de 96 à 83 pour l'équipe parisienne, un événement inhabituel a volé la vedette : une odeur nauséabonde a envahi l'Adidas Arena durant une bonne partie de la rencontre, perturbant joueurs et spectateurs. Le préfet de police de Paris, Laurent Nunez, ainsi que d'autres agents présents pour assurer la sécurité, ont également été incommodés par cette situation inédite.

Pour tenter de se protéger, certains spectateurs ont remonté leur pull ou utilisé leur écharpe. Dans le carré réservé aux supporters du Maccabi Tel Aviv, un fan a exprimé son mécontentement, criant sa frustration face à cette odeur désagréable, soupçonnant qu'il s'agissait d'un acte malveillant orchestré par des sympathisants pro-palestiniens.

Un incident extrêmement dérangeant qui a soulevé de nombreuses questions parmi les spectateurs : qui a bien pu introduire dans la salle ces fioles causant cette puanteur ? Personne ne sait encore d'où vient cette substance, mais la police a ouvert une enquête pour identifier les responsables de cet acte troublant.

En raison des tensions entourant ce match, des mesures de sécurité exceptionnelles avaient été mises en place, comprenant la présence de 600 agents de police et la mise en place de barrières autour de l’Adidas Arena, ce qui montre l'importance accordée à la sécurité des matchs dans des contextes sensibles. Ce déploiement de forces de l'ordre était comparable à celui organisé pour des événements de haut risque dans d'autres sports, notamment le football.

Après le match, les joueurs de Maccabi Tel Aviv, tout en étant protégés par des agents, se sont approchés de leurs supporters pour leur montrer leur gratitude malgré la défaite. "On a fait le maximum, même si le résultat n’est pas au rendez-vous. L'important, c'est de montrer que nous sommes là pour nos supporters," a déclaré un joueur. Cet événement a mis en lumière non seulement la passion du sport, mais aussi la complexité des interactions sociopolitiques qui peuvent en découler, faisant de chaque match un véritable microcosme de la réalité qui nous entoure.