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Trump fait le buzz : « Beaucoup d'Américains aimeraient un dictateur ! »

2025-08-25

Auteur: Sophie

Un discours controversé depuis le Bureau ovale

Lors d'une conférence de presse atypique le 25 août, Donald Trump a soulevé des vagues d'indignation en affirmant que beaucoup d'Américains auraient une certaine admiration pour un dictateur. Le président, jetant une lumière troublante sur les critiques relatives à sa gouvernance, a tenté de défendre sa position sur la sécurité et la répression politique. Son message s'est toutefois perdu dans un enchevêtrement de déclarations confuses.

Un appel à l'ordre controversé

« On me dit souvent que peut-être, certains Américains aimeraient la dictature », a-t-il déclaré avant de se vanter : « Je ne suis pas un dictateur, juste un homme intelligent doté de bon sens. » Cette auto-complaisance est survenue en réaction à des attaques sur l'envoi de la Garde nationale dans les rues de Washington, une décision qu'il jugeait nécessaire pour maintenir l'ordre.

Des menaces inattendues

Au fil de sa diatribe de plus d'une heure, Trump a signé un décret menaçant de prison ceux qui brûleraient un drapeau américain, défiant ainsi une décision historique de la Cour suprême qui reconnaît cela comme une liberté d'expression. "Une année de prison, sans libération anticipée !", a-t-il prévenu, traduisant une vision de plus en plus militante.

Un renouveau militaire ?

Dans un virage audacieux, Trump a également proposé de renommer le ministère de la Défense en ministère de la Guerre, une suggestion qui laisse planer un air de militarisation de la politique américaine.

Attaques contre les rivaux politiques

Ses récriminations ne se sont pas limitées à la bureaucratie. Trump a lancé des attaques cinglantes contre ses adversaires démocrates, ciblant en particulier le gouverneur de l'Illinois, JB Pritzker, qu'il a traité de "sagouin" et suggérant qu'il devait "faire plus de sport".

Un regard sur l'avenir du sport et de l'écologie

En parallèle, Trump s'est vanté de la préparation de la ville pour accueillir le Mondial de football l'été prochain, exhibant le prestigieux trophée de la FIFA qui a trouvé sa place dans son Bureau ovale. Sa légèreté est apparue alors qu'il abordait un problème sérieux : l'invasion des carpes asiatiques dans les Grands Lacs, qualifiant cette espèce de "poisson assez violent qui saute partout".

Un mandat de défis à venir

Trump a laissé entendre que la ville de Chicago pourrait être la prochaine cible de ses efforts de maintien de l'ordre. En désignant l'État de l'Illinois comme un terrain difficile, il a averti qu'aucune action ne serait entreprise sans sollicitation des autorités locales, soulignant ainsi ses stratégies politiques controversées envers les États à majorité démocrate.