Dans un contexte mondial où la radicalisation prend de nombreuses formes, un groupe inquiétant fait surface : Terrorgram. Ce réseau, composé de suprémacistes blancs, s'inspire des stratégies déployées par l'État islamique pour étendre son influence et recruter de nouveaux membres. Les autorités de plusieurs pays, notamment aux États-Unis et en Europe, s'inquiètent de la montée en puissance de ces mouvements extrémistes qui exploitent les réseaux sociaux pour diffuser leur idéologie et mobiliser leurs partisans.

Des experts soulignent que, tout comme l'État islamique a su utiliser le numérique pour sa propagande, Terrorgram a adapté cette méthode pour toucher un public plus large, notamment en ciblant de jeunes individus vulnérables. La police fédérale a même alerté sur le fait que des attaques pourraient être planifiées, inspirées par les méthodes de l'État islamique.

Face à cette menace grandissante, des campagnes de sensibilisation sont mises en place pour déconstruire ces idéologies violentes et prévenir la radicalisation. Les gouvernements sont de plus en plus incités à coopérer au niveau internacional pour stopper cette dynamique, favorisant ainsi des échanges d'informations et de meilleures stratégies de lutte contre le terrorisme.