Maître Nadia El Bouroumi, avocate de deux accusés dans le très médiatisé procès des viols de Mazan, suscite une vive controverse. En raison de ses prises de position audacieuses sur l’affaire, elle ne cesse de faire parler d'elle, notamment sur les réseaux sociaux. Elle y partage de nombreux détails sur le déroulement des audiences, ce qui a soulevé des questions éthiques sur la divulgation d’informations sensibles.

Les accusations qui pèsent sur ses clients ont choqué la communauté locale et au-delà, galvanisant les mouvements sociaux qui revendiquent justice et soutien aux victimes. Pendant que Maître El Bouroumi utilise les plateformes numériques pour défendre ses clients et critiquer le traitement médiatique de l'affaire, des voix s'élèvent pour dénoncer ce qu'ils appellent une banalisation des faits graves.

Alors que les audiences se poursuivent, le public reste suspendu à chaque déclaration, et l'affaire continue de diviser les opinions. Quels seront les impacts de cette affaire sur la législation concernant les droits des victimes et l'éthique de la défense ? La bataille juridique s'annonce intense, et le moindre mouvement pourrait faire basculer l'opinion publique.