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Révélations choc : Kamala Harris ne serait rien moins qu'un mélange explosif d'Anne Hidalgo et Sandrine Rousseau, selon Marion Maréchal

2024-11-07

Auteur: Philippe

Dans un tournant inattendu des événements, Marion Maréchal, députée européenne nationaliste, n'a pas pu contenir sa joie après la victoire de Donald Trump aux élections américaines. Elle a expressément partagé ses félicitations sur le réseau social X, réutilisant le célèbre slogan de campagne de Trump : « Maintenant, à notre tour de rendre la France et l'Europe grandes à nouveau ! »

Invitée sur TF1, Maréchal a souligné que la force de Trump réside dans sa capacité à contrecarrer ce qu'elle appelle une lecture « woke » et racialiste de la société. Pour elle, cette victoire représente une « contre-révolution woke », prouvant que l'approche progressiste ne fait pas l'unanimité comme certains le croyaient.

Lors de cette intervention, elle a exprimé des critiques acerbes à l'encontre de Kamala Harris, qu'elle compare à un "croisement entre Anne Hidalgo et Sandrine Rousseau". Elle attribue l'échec de Harris à sa stratégie qui se concentre sur des questions d'identité. Selon Maréchal, Harris aurait trop mis l'accent sur des distinctions comme « êtes-vous un homme ou une femme ? Êtes-vous noir ou blanc ? Êtes-vous homosexuel ou hétérosexuel ? », tandis que Trump réussit à rassembler les Américains autour de valeurs communes comme le patriotisme, le travail et l'ordre.

Marion Maréchal a également loué les efforts de Trump pour construire un mur à la frontière avec le Mexique, qu'elle envisage d'ailleurs comme un modèle à suivre pour l'Europe, notamment dans les Balkans, pour endiguer les flux migratoires. Bien qu'elle soutienne plusieurs de ses initiatives, elle a tenu à clarifier qu'elle ne se considère pas comme « trumpiste » : « Je suis Française, il est Américain, et il défend avant tout les intérêts américains ».

Elle critique également l'Union Européenne, appelant à rompre avec une « forme de naïveté » face à la mondialisation, en demandant un retour à une logique de protection des marchés face à la concurrence jugée déloyale. Selon elle, l'éventuel retour de Trump en tant que 47e président des États-Unis pourrait influencer les dynamiques politiques internationales, mais elle reste sceptique quant à la possibilité d'importer son style aux modes de politiques française. "Le style Trump est très américain, je ne suis pas sûre qu'il soit importable en France", a-t-elle conclu.

Ces déclarations interviennent à un moment où le paysage politique mondial est en pleine mutation. Alors que les idéologies traditionnelles vacillent, le retour d'un personnage aussi charismatique que Donald Trump sert de rappel des défis à venir pour les mouvements nationalistes en Europe.