Dans un contexte de tensions géopolitiques croissantes et de défis internes pressants, le président algérien a récemment qualifié l’écrivain Boualem Sansal d'« imposteur ». Ce procès d'intention soulève des interrogations sur la liberté d'expression en Algérie, où des voix dissent importantes sont étouffées. Alexis Brézet, dans sa chronique, rend hommage à Sansal, un auteur qui incarne le courage et la résistance face à un régime dictatorial. Il met en lumière l’indifférence de certaines factions de la gauche française envers la lutte de cet écrivain pour la vérité et la justice.

Alors que 2025 se profile à l’horizon, il est crucial de réfléchir à la manière dont l'histoire nous jugera. La France et son rôle en tant que défenseur des droits de l'homme seront scrutés, et il incombe à tous de se rappeler de l'importance de soutenir ceux qui se battent pour leur liberté dans des systèmes oppressifs. Les prochains mois pourraient être décisifs non seulement pour l’Algérie, mais pour l’ensemble du paysage politique mondial. Quelles seront les conséquences de nos actions ou de notre inaction ? Il est temps de se poser la question : serons-nous, en 2025, au rendez-vous de l’Histoire ? Les citoyens doivent s'engager à défendre la démocratie et la liberté d’expression, tant ici qu'ailleurs. Des manifestations pour la liberté d’expression et le soutien à des écrivains comme Sansal devraient retentir au sein de notre société.