Dans un développement récent qui pourrait changer la dynamique du conflit en Ukraine, Volodymyr Zelensky a affirmé que seul un potentiel contrôle américain de la centrale nucléaire de Zaporijia, actuellement sous occupation russe, a été évoqué pour assurer une protection adéquate des infrastructures énergétiques ukrainiennes.

La Maison Blanche a également annoncé que les États-Unis se sont engagés à fournir davantage de systèmes de défense antiaérienne à l'Ukraine. Cet engagement a été confirmé par la porte-parole Karoline Leavitt, qui a mentionné un échange téléphonique positif entre Donald Trump et Zelensky. Trump a promis de collaborer pour évaluer les options disponibles pour renforcer la défense ukrainienne.

Zelensky a remercié Trump pour le soutien continu des États-Unis, notamment pour l'envoi de missiles Javelin. Les deux dirigeants ont convenu de continuer à travailler ensemble pour mettre fin au conflit en cours et ont exprimé leur optimisme quant à la possibilité d'établir une paix durable.

Dans le cadre de leurs discussions, ils ont également abordé la question d'un cessez-le-feu partiel concernant les infrastructures énergétiques, ce qui pourrait être considéré comme un premier pas vers une résolution globale du conflit. Il a été suggéré que les équipes américaines et ukrainiennes se réunissent bientôt en Arabie Saoudite pour discuter de l'élargissement de ce cessez-le-feu dans toute la mer Noire.

Maintenant, au cœur de la controversy, la première ministre italienne, Giorgia Meloni, a évoqué un cessez-le-feu limité, tout en soulignant l'importance d'une approche prudente et réfléchie pour garantir une paix juste. Elle a félicité Trump pour son engagement, considérant que ses efforts pourraient contribuer à apporter des garanties de sécurité à l'Ukraine.

Dans une atmosphère tendue, l'état-major ukrainien a rapporté plus de 60 combats à travers le pays, soulignant l'intensité du conflit, notamment dans l'oblast de Donetsk, où les forces ukrainiennes ont subi de violents assauts.

Pendant ce temps, la France a exprimé des réserves sur les conditions posées par Poutine pour un cessez-le-feu, qualifiant ces dernières de « non réalistes », et a souligné la nécessité d'une implication ukrainienne dans toute discussion de paix.

Alors que la situation continue d'évoluer, le monde observe attentivement les développements en Ukraine, se demandant si un chemin vers la paix est réellement envisageable.