Le début d'année pour le FC Barcelone est notable ! Après avoir dominé le Real Madrid lors de la Supercoupe d'Espagne (5-2), les Catalans ont poursuivi sur leur lancée en s'imposant avec éclat contre le Betis Séville (5-1) en quart de finale de la Coupe du Roi.

Malgré l'absence de leur star Robert Lewandowski, resté sur le banc, le Barça a réalisé une démonstration sur la pelouse de Montjuïc, grâce à des réalisations de Gavi (3e), Jules Koundé (27e), Raphinha (58e), Ferran Torres (67e) et Lamine Yamal (78e).

Parmi les moments marquants de ce match, Jules Koundé a brillé avec une performance remarquable. Le défenseur français a non seulement marqué, mais a également failli réaliser un doublé. Cependant, la technologie VAR est venue contrecarrer ses efforts, annulant un but pour un hors-jeu très contestable, provoqué par un léger dépassement de son pied lors d'une action décisive.

Où se trouve la logique ?

En observant la position de Koundé et celle du défenseur du Betis, il est naturel de se poser des questions. Lors du tir, Koundé se trouvait clairement derrière le ballon. Cet incident soulève des interrogations sur l'applicabilité de la technologie, parfois perçue comme déconnectée de la réalité du terrain. Au lieu de céder à la frustration, Koundé a choisi de montrer son humour sur Instagram, interpellant son équipementier pour qu'il considère de modifier le design de ses chaussures, peut-être en envisageant un modèle plus ajusté.

Cette situation fait écho à un débat plus large sur le football moderne et l'impact d'une technologie qui, bien que visant à rendre le jeu plus juste, peut parfois le rendre encore plus controversé. Comment les joueurs, les entraîneurs et les fans peuvent-ils naviguer dans cette ère numérique qui redéfinit les règles du jeu ? C'est une question que le monde du football doit envisager sérieusement.

Ce match, au-delà de l'énorme performance du FC Barcelone, met en lumière les défis que tous les acteurs du sport doivent relever face à des décisions qui peuvent parfois paraître déraisonnables.