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«Du poison» : Robert Kennedy Jr, ministre de la Santé nommé par Trump, s'attaque au régime alimentaire du président

2024-11-15

Auteur: Louis

Avant même sa nomination, Robert Kennedy Jr, le nouveau ministre de la Santé aux États-Unis, a publié des critiques acerbes sur les habitudes alimentaires de Donald Trump. Lors d'un podcast animé par Joe Polish, il a déclaré le mardi 12 novembre : « Ce qu'il mange est vraiment mauvais ». Cette révélation survient peu après l'élection de Trump, qui a eu lieu le 5 novembre.

Ancien membre du Parti démocrate, Robert Kennedy Jr est désormais indépendant et a joué un rôle de conseiller pour Donald Trump au sujet des questions de santé durant la campagne présidentielle de 2024. Il a pu constater personnellement l'alimentation controversée du président. Dans le podcast, il a décrit les repas servis à bord de l’avion de campagne de Trump comme étant « comme du poison », ajoutant qu’il n'y avait pas d'options saines : « On vous donne soit du KFC, soit des Big Mac, et le reste, je le considère comme immangeable. » Cette remarque ne fait qu'ajouter à la notoriété de Trump pour ses préférences alimentaires peu saines.

Le goût du président pour la malbouffe n'est plus à prouver. En janvier 2019, Trump avait accueilli une équipe de football à la Maison-Blanche, offrant une table surchargée de hamburgers de chez McDonald’s. De plus, durant la campagne présidentielle, il avait même été filmé en train de travailler dans un restaurant McDonald’s en Pennsylvanie, illustrant ainsi son attrait pour la restauration rapide.

Des révélations inquiétantes

Kennedy Jr. a également mentionné une conversation avec Dana White, le patron de l’Ultimate Fighting Championship (UFC), un ami de longue date de Trump. White a affirmé : « Je n'ai jamais vu Trump boire un verre d’eau. Jamais ». Ces déclarations soulèvent des questions sur les choix de vie de Donald Trump et leur impact potentiel sur sa santé.

La critique acerbe de Kennedy concernant le mode de vie du président éveille des préoccupations sur l'exemplarité que pourrait avoir un ministre de la Santé qui prend position contre le régime alimentaire de son propre président. Ce décalage pourrait également soulever des interrogations régionales sur la santé publique et les politiques alimentaires à venir sous son administration.