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DIRECT. UFC Paris : Saint Denis en grande difficulté face à Moicano

2024-09-28

Inter-round : le médecin intervient et stoppe le combat

Après ce deuxième round, la situation devient critique pour Saint Denis, le médecin de l'UFC vérifie sa vision.

"Il ne peut pas voir", annonce le médecin...

C'est terminé, victoire de Renato Moicano par arrêt de l'arbitre.

Round 2 : c'est compliqué pour Saint Denis mais il domine cette manche

Sous une troisième Marseillaise lancée par le public de l'Accor Arena, ici, Benoît Saint Denis, surnommé "God of War", affiche un visage méconnaissable dans l'octogone. Bien qu'il domine ce 2e round, il n'envoie que très peu de frappes, négligeant les coups au corps essentiels pour déséquilibrer son adversaire.

Le public francophone découvre un nouveau visage de Benoît Saint Denis.

Round 2 : Saint Denis crispé

Craintif du moindre coup à l'œil, le Français reste extrêmement prudent au début de ce 2e round. Il garde ses distances et tente des entrées et sorties rapides pour éviter que les coups ne le touchent à la tête.

Fin de la première reprise... un début terrible pour BSD.

Essentiellement ensanglanté, et avec ses deux yeux maintenant gonflés, la situation se complique pour lui.

Round 1 : totale domination de Moicano

Dans une position dominante au sol depuis deux minutes, le Brésilien met en place un énorme ground and pound qui ouvre largement l'arcade de Saint Denis. Un premier round sensationnel pour Moicano. Une minute reste encore à jouer.

Round 1 : premier middle de BSD envoyé... et attrapé par Moicano

Dès les 30 premières secondes, le combat se déplace directement au sol suite à la prise du middle kick envoyé par Saint Denis. Le sol est un domaine que maîtrise parfaitement Moicano, qui a déjà réalisé 10 soumissions en pro.

C'est parti pour le main event de la soirée : BSD - Moicano !

Acclamé par tout Bercy, Benoît Saint Denis, en short bleu et gants bleus, est prêt pour son premier combat principal. L'annonce de Bruce Buffer est suivie par une ambiance électrique dans la salle.

L’expertise de Moicano sur le grappling et ses antécédents

À ce moment-là, Renato Moicano, en train de faire son entrée dans l'Accor Arena, s'apprête à disputer son deuxième main event à l'UFC. Connu pour sa capacité de finition au sol depuis ses débuts en 2014, il vient pour "gâcher la fête" de Saint Denis, qui occupe une importante place dans le MMA français.

Pourquoi Saint Denis a-t-il été choisi pour ce main event ?

En raison de l’absence de Ciryl Gane, engagé en décembre contre Volkov, l'UFC cherchait un remplaçant prisé pour le combat principal. Manon Fiorot, candidate potentielle pour le main event, n’était pas disponible, ayant été remplaçante pour un autre combat. Ainsi, Benoît Saint Denis a été choisi, devenant le nouveau visage du MMA français en pleine ascension.

Le combat commence et les enjeux sont clairs : Benoît Saint Denis veut rebondir après sa défaite contre Dustin Poirier, et pour réintégrer le Top 10, il doit s'imposer face au dangereux Brésilien Renato Moicano, actuellement 12e au classement des -70kg.
Suites pour les autres combattants français

Nassourdine Imavov a remporté son combat par décision unanime, montrant la profondeur du talent français. Après un premier round difficile, il est parvenu à s'imposer solidement dans les deux derniers, dominées par son combat au sol et son striking intelligent.

La soirée se poursuit avec un combat d'anthologie, le Français William Gomis a également brillé, renforçant encore davantage la présence française sur la scène mondiale de l'UFC.

Le MMA français est en pleine effervescence alors que ces combattants luttent pour faire briller leur pays sur la plus grande scène de MMA au monde.

L'attention est donc majoritairement portée sur le combat principal, mais il reste à suivre les performances des autres compétiteurs français qui souhaitent se faire un nom à l'UFC. Nous attendons encore plus d'exploits et d'expressions du talent tricolore lors de ce grand événement UFC Paris 2024 !

Pour les fans de MMA, cette carte est à ne pas manquer, car elle représente l'avenir prometteur du sport en France.