Dans un contexte économique tendu, les débats autour des mesures fiscales pour 2025 prennent une tournure inattendue. D'un côté, Donald Trump promet des allègements fiscaux massifs pour les entreprises, tandis que Kamala Harris met en avant des crédits d'impôt ciblés pour les ménages à faibles revenus. Cette surenchère aux cadeaux fiscaux met en lumière les différentes visions économiques des deux figures politiques, qui cherchent chacune à séduire un électorat déjà divisé.

Les critiques abondent, certains analystes affirmant que de telles mesures pourraient aggraver les inégalités. Pendant ce temps, le gouvernement français envisage de revenir à l'Impôt de Solidarité sur la Fortune (ISF), ainsi qu'un élargissement de l'Impôt sur la Fortune Immobilière (IFI), ce qui pourrait signifier une pression accrue sur les plus riches. L'idée serait de redistribuer plus équitablement la richesse et de réduire le niveau élevé de la dette nationale.

Cette compétition fiscale, non seulement entre Trump et Harris, mais aussi à l'échelle mondiale, soulève des questions cruciales sur la manière dont les gouvernements peuvent équilibrer la justice fiscale tout en stimulant la croissance économique. Les citoyens se demandent quelle sera la meilleure stratégie pour relancer la consommation et attirer les investissements, tout en s'attaquant à la dette publique qui pèse lourdement sur l'avenir économique des pays. Reste à voir qui sortira vainqueur dans cette bataille des idées.