"Un scandale qui ternit notre image ! Body Minute attaque Laulevy en justice !"
2025-01-16
Auteur: Marie
La tension monte entre la chaîne de beauté Body Minute et l'influenceuse Laurène Lévy, alias Laulevy. Cette situation délicate a des répercussions significatives pour Wahiba Beldjilali, qui dirige plusieurs salons Body Minute à Toulouse, alors que le bad buzz nuit considérablement à la réputation de la marque.
Tout a commencé avec une vidéo humoristique publiée par Laulevy sur TikTok, le 26 octobre 2022, dans laquelle elle fait part de son expérience négative dans un salon Body Minute à Paris. La vidéo qui, à sa sortie, n'avait que 10 000 vues, a aujourd'hui atteint les 800 000 vues, faisant ainsi grand bruit et suscitant la colère de Jean-Christophe David, le fondateur de Body Minute, qui a tenté de faire supprimer la vidéo.
L'histoire se complique lorsque des huissiers se rendent sur le lieu de travail de Laulevy afin de chercher des preuves suggérant qu'elle aurait agi sous la pression de son employeur. En réalité, Laulevy a publié la vidéo sur son compte privé et a exprimé des sentiments de déception face à l'attitude d'une esthéticienne. Cet incident a mis en lumière une stratégie de communication catastrophique de la part de Body Minute, et Wahiba Beldjilali souligne qu'elle n'a pas été impliquée dans cette polémique. "Nous n’avons, à aucun moment, été consultés. Tout cela retentit négativement sur mon activité", déclare-t-elle.
Face à la montée de cette situation, Body Minute a maintenant intenté une action en justice contre Laulevy pour diffamation et dénigrement, affirmant que ses vidéos nuisent à l'image de la chaîne. Les réactions se multiplient sur les réseaux, avec des soutiens massifs pour l'influenceuse, qui voit son influence grandir à travers cette controverse. Un autre clou dans le cercueil de Body Minute a été une vidéo parodique produite par la marque, utilisant l'intelligence artificielle pour se moquer de Laulevy en l'appelant "Laurène La Haine".
"Ce buzz médiatique retentissant nous fait énormément de mal", admet Wahiba, qui exprime son désespoir face à cette guerre médiatique. "Notre mission est d'apporter des soins bienveillants à nos clientes, contrairement à l'image véhiculée sur les réseaux sociaux." Elle insiste sur le fait que les valeurs d'humanité et d'empathie qui sont au cœur de son travail sont totalement opposées à cette bataille d'ego.
Les professionnels de l'esthétique et les franchisés de Body Minute craignent pour l'avenir de leur activité, appelant à une clarification et à une communication plus ciblée pour apaiser cette tempête médiatique. La question demeure : jusqu'où ira cette querelle ? Et quelles conséquences dramatiques cela aura-t-il sur l'image de Body Minute et l'ensemble de ses établissements ? Restez connectés pour suivre cette saga qui ne cesse de bouleverser le monde de la beauté et des réseaux sociaux !