En août 2019, à l'hôpital Simone-Veil, Lucie B., âgée de 35 ans, a connu un arrêt cardiaque suite à une injection d'un anesthésiant. Depuis cet événement tragique, sa famille est en lutte acharnée pour obtenir justice et faire reconnaître la responsabilité de l'établissement hospitalier. Selon Me Yacine Djellal, l'avocat de la famille, « J'espère qu'elle n'est pas consciente, sinon cela voudrait dire qu'elle a pleinement conscience d'être enfermée dans son corps », une déclaration qui soulève des questions déchirantes sur la condition de Lucie.

Ce cas met en lumière les dangers potentiels des anesthésiques et les conséquences dévastatrices qu'ils peuvent entraîner. L'hôpital et les médecins impliqués sont sous enquête, ce qui a entraîné une vague d'indignation parmi les proches de Lucie et le grand public. Les défenseurs des droits des patients demandent une plus grande transparence dans les procédures médicales.

Lucie, selon les dernières nouvelles, est toujours dans un état de santé critique, laissant sa famille dans l'angoisse et l'espoir d'une issue favorable. Cette affaire a aussi suscité un débat sur la nécessité de réformer les pratiques anesthésiques dans les hôpitaux français. La famille de Lucie continue de se battre, déterminée à obtenir des réponses et à faire en sorte que de tels incidents ne se reproduisent plus.