Science

« Un Dinosaure Jamais Vu » : La Découverte Étonnante d'un Ankylosaure Armé au Maroc

2025-08-28

Auteur: Michel

Un Projet de Découverte Révolutionnaire

Récemment, une découverte incroyable a été faite au Maroc : *Spicomellus afer*, le plus ancien ankylosaure recensé, révèle des caractéristiques si étonnantes qu'elles laissent les paléontologues bouche bée. Cet ancêtre du Jurassique moyen, avec ses armures hérissées de piques, semble tout droit sorti d'un film de science-fiction.

Un Animal Saisissant et Unique

Avec des ornements sans précédent, *Spicomellus* arbore de véritables colliers d'éperons et des épines mesurant jusqu'à un mètre. Susannah Maidment, paléontologue au Muséum d'histoire naturelle de Londres, témoigne : « J’ai étudié les dinosaures blindés toute ma carrière, mais jamais je n'avais rien vu de tel ! » Les fossiles dévoilent un monde fantastique de structures, des côtes hérissées et des plaques en forme de larme à la clavicule ornée de protubérances.

Une Révélation Éblouissante

Les recherches sur ces fossiles ont été lancées après qu’un agriculteur marocain a découvert de nouveaux ossements ce qui a suscité une équipe de chercheurs. Lors de ces fouilles, ils ont mis au jour l’ampleur de ce spécimen unique : un animal au design extravagant, le premier ankylosaure connu en Afrique.

Une Armure Controversée

Les paléontologues se posent des questions cruciales : ces épines massives étaient-elles réellement un moyen de défense ? Les recherches actuelles suggèrent que cette armure complexe aurait plutôt pu servir à la parade nuptiale ou à l'intimidation entre rivaux, semblable aux bois du cerf ou aux plumes du paon.

Un Mystère Évolutionnaire à Déchiffrer

La fastueuse armure de *Spicomellus* soulève des enigmes sur l'évolution des ankylosaures. Pourquoi ces traits fascinants ont-ils disparu chez ses descendants du Crétacé ? Des théories émergent, évoquant l'arrivée de prédateurs redoutables comme le Tyrannosaurus rex ou des changements écologiques décisifs.

L'Avenir des Recherches Paléontologiques

Actuellement, suite à ce déferlement de découvertes, les paléontologues maintiennent le secret sur le site pour éviter le braconnage. Mais l'enthousiasme reste grand, comme le souligne Susannah Maidment : « Nous allons continuer à explorer le Moyen Atlas. Qui sait, nous pourrions mettre la main sur un crâne de *Spicomellus*... Ce serait extraordinaire ! »