
Tensions avec De Zerbi : Le vestiaire de l'OM en ébullition !
2025-04-07
Auteur: Emma
Après une défaite décevante contre Reims, l'Olympique de Marseille a traversé une semaine tumultueuse, marquée par des tensions entre l'entraîneur Roberto De Zerbi et plusieurs joueurs. Croyez-le ou non, tout cela s'est intensifié dans les jours qui ont suivi, remettant en question la stabilité de l'équipe. Malgré ces difficultés, l'OM a réussi à s'imposer face à Toulouse ce dimanche soir avec un score de 3-2, offrant une lueur d'espoir au sein du club.
La défaite contre Reims a agi comme un catalyseur, provoquant un climat de crise au sein de l'OM. Avec quatre défaites en cinq matchs, l'atmosphère était tendue, et il a été rapporté que De Zerbi ne voyait pas d'un bon œil certains comportements de ses joueurs. Néanmoins, la victoire face à Toulouse fut une réponse à cette tourmente, un moyen de retrouver une certaine sérénité, du moins pour l'instant.
Après le match, le milieu de terrain Valentin Rongier s'est exprimé sur la situation, affirmant qu'il n'y avait pas eu de "cassure" avec De Zerbi. "Cela fait six ans que je suis ici, je sais ce que c'est que l'environnement marseillais. Notre état d'esprit était présent et c'est ce que nous devons afficher chaque match", a déclaré Rongier, soulignant l'importance de rebondir après une période difficile. "C'est regrettable, mais c'est à cause de cette semaine difficile que nous avons pu montrer à nouveau cet état d'esprit qui nous avait fait défaut. Si nous voulons rester en haut du classement, nous devons donner le maximum sur le terrain."
Les rumeurs circulent également selon lesquelles De Zerbi attendait une réaction immédiate de ses joueurs après la défaite contre Reims. Si la victoire contre Toulouse confirme leur potentiel, la route reste semée d'embûches pour le club phocéen. Les semaines à venir seront cruciales pour voir si l'OM peut tourner la page de cette crise et retrouver son lustre d'antan, ou si des fractures plus profondes continueront d'apparaître dans le vestiaire.