SCANDALE ! Maladie de Parkinson : des médicaments responsables d'addictions dévastatrices !
2025-01-17
Auteur: Chloé
Environ 273 000 Français sont touchés par la maladie de Parkinson, une maladie incurable. Les traitements, comme le Requip, un médicament produit par le laboratoire GSK, sont censés aider à réduire les tremblements et améliorer la qualité de vie. C'est le cas de Stéphan Grange, cadre francilien, qui a commencé à prendre ce traitement en 2019. Au début, il se sentait soulagé et profitait d’un période euphorique appelée "lune de miel". Malheureusement, les jeux d’argent et les comportements sexuels compulsifs ont vite pris le dessus, le menant à une dette de plus de 90 000 euros en moins de deux ans.
Le 15 février 2024, Stéphan a décidé de porter plainte contre GSK devant le tribunal de Nanterre, après avoir découvert le lien entre ses addictions et le médicament. La société a commercialisé le Requip en France depuis 1997 et n'a pas rapidement averti les patients des effets secondaires graves liés à ce traitement. L’audience est prévue pour novembre 2025.
Mais comment ces médicaments peuvent-ils engendrer de telles compulsions ? La maladie de Parkinson est causée par un manque de dopamine, qui régule le plaisir et le désir. Les traitements dopaminergiques, comme le Requip, peuvent perturber le système de récompense du cerveau, augmentant le risque de comportements impulsifs et d'addictions. En effet, près de la moitié des patients sous agonistes dopaminergiques développent ce type de troubles dans les cinq ans suivant le début du traitement.
Stéphan, qui n'avait jamais fait de paris auparavant, a commencé à parier jusqu'à six fois par jour, même sur des matchs biélorusses à cinq heures du matin pendant le confinement. Sa compagne a été accablée par ses comportements, et sa vie personnelle s'est effondrée. Un changement de traitement a enfin permis de réduire ses pulsions.
Il n'est pas seul dans ce combat. Sandrine, une autre patiente sous Requip, a également subi une transformation dévastatrice. Elle a développé une obsession pour la nourriture et a pris près de 15 kilos en quelques mois, tout en devenant accro aux jeux en ligne, perdant environ 50 000 euros.
Un autre cas tragique est celui d'un directeur d'usine qui, sous l'effet du médicament, a commis des actes de cruauté envers des animaux, déclenchant une onde de choc dans sa communauté. Après avoir été simplement décrit comme un "serial cat killer" dans les médias, il a été frappé par l'ampleur de ses actes. Son avocate dénonce le manque d’attention portée à l'impact de son traitement sur son comportement.
Il est essentiel de faire prendre conscience des risques liés aux traitements dopaminergiques. Les études montrent qu'une vigilance accrue est requise pour protéger les patients de comportements hiérarchiquement dangereux. Jean-Christophe Corvol, neurologue réputé, milite pour que les labos soient tenus responsables et adapte les traitements en conséquence.
Avec un nombre croissant de patients atteints de la maladie de Parkinson — bien alimenté par le vieillissement de la population et l'exposition à des toxines environnementales — il est urgent d’éveiller les consciences. Il faut alerter les médecins, les patients et leurs familles sur ces dangers insidieux. Les histoires de Stéphan, Sandrine et Patrick sont des témoignages poignants d'un système qui, bien souvent, néglige les effets dévastateurs des médicaments sur la vie quotidienne des patients. Leurs voix doivent être entendues, et leurs luttes, reconnues. GSK et d'autres laboratoires doivent faire face à leurs responsabilités, sinon le nombre de victimes ne fera qu’augmenter.