En pleine présentation d'un nouveau plan gouvernemental de lutte contre le narcotrafic à Marseille par les ministres Bruno Retailleau et Didier Migaud, un incident incroyable s'est produit à Paris. Un jeune homme de 26 ans, qui se présentait comme majordome au sein de l'équipe du Premier ministre, a été placé en garde à vue dans les locaux de la Brigade des stupéfiants après avoir été appréhendé en possession de plus de 50 grammes de cocaïne.

L'arrestation a eu lieu dans la nuit du 7 novembre 2024, alors qu'il effectuait une transaction suspecte devant un immeuble de la rue des Petites-Écuries, dans le IXe arrondissement. Les agents de la brigade anticriminalité ont découvert dans le coffre de son scooter 28 bonbonnes de cocaïne, d'une valeur marchande d'environ 3 300 euros. En outre, il a été trouvé en possession de 1 400 euros en liquide.

Originaire de Thiais dans le Val-de-Marne, ce majordome a été surpris par les enquêteurs, qui ont plus tard confirmé qu'il travaillait effectivement pour le Premier ministre, ayant même retrouvé son badge d'accès à Matignon lors d'une perquisition à son domicile.

Recruté en 2022, il faisait partie d’un service d’environ 70 personnes chargées de la gestion des repas au sein du gouvernement. Avant d'intégrer Matignon, il était maître d'hôtel dans un restaurant réputé de Paris. Toutefois, il était en arrêt maladie depuis le 16 mars 2023, ayant été placé en statut de "grave maladie" en décembre dernier, un congé renouvelé jusqu'en mai 2025. En conséquence, il n'a jamais eu l'occasion de travailler sous le nouveau Premier ministre, Michel Barnier.

Cette affaire a pris une tournure encore plus préoccupante en raison de la quantité de drogue retrouvée – plus de 50 grammes – entraînant une enquête approfondie par la brigade des stupéfiants du parquet de Paris. Étonnamment, nombreuses rumeurs circulent sur les implications plus larges dans les coulisses du pouvoir, soulevant des questions sur la sécurité et l'intégrité au sein des plus hautes sphères de l'État. Alors que les autorités annoncent ne pas avoir planifié d'autres perquisitions à Matignon, la situation reste sous haute surveillance. Que cache vraiment cette affaire? Cette découverte pourrait-elle mener à des révélations encore plus explosives sur le monde politique français?