
Safran met fin aux investissements dans les villes écologistes : une déclaration choc !
2025-04-16
Auteur: Jean
Dans un coup de théâtre retentissant, Olivier Andriès, le patron de Safran, a annoncé qu'il ne consacrera plus un centime à des villes dominées par des élus écologistes. Cette décision fait suite à de vives critiques concernant l'implantation d'une usine à Rennes, en Ille-et-Vilaine, qui avait pour ambition de créer 500 emplois d'ici 2029.
Le discours enflammé d'Andriès est sans équivoque : "Il n'est plus question d'investir en France dans des municipalités où le pouvoir appartient à une majorité écologiste. Si je dois être accueilli par des tomates, je préfère ne pas investir du tout !" Cette affirmation a été faite lors d'une commission d'enquête de l'Assemblée nationale sur les défis de la réindustrialisation.
La nouvelle fonderie, prévue pour février 2024, aurait respecté la législation sur l'artificialisation des sols en s'implantant sur un site ancien de Stellantis. Cependant, la classe politique locale a vivement critiqué le projet. Le DG de Safran se remémore les réactions hostiles : "Les écologistes nous ont bombardés de critiques, clamant que notre projet polluerait et n'était pas en phase avec les enjeux écologiques.”
Andriès assure que sa décision n'est pas motivée par des considérations politiques. Il souligne que son entreprise, au cœur de l'innovation aéronautique, est freinée par ce qu'il qualifie d'"écologie punitive", citée par le député RN Alexandre Loubet en réaction à ses propos.
Cette déclaration est un véritable appel à la réflexion sur l'avenir économique des régions gouvernées par des politiques environnementales strictes. Quel impact cela aura-t-il sur l'innovation et l'industrialisation en France ? Un nouveau tournant dans les relations entre l'écologie et les industries ? Seul l'avenir nous le dira.