Des vidéos enflamment les réseaux sociaux en un temps record.

Les propos choquants d'une avocate de la défense provoquent une réaction d'indignation massive.

Alors que le procès concerne 50 co-accusés, cette avocate ne cesse de publier des messages qui suscitent la controverse, allant même jusqu'à être qualifiée de provocatrice.

Les tensions dans la salle d'audience sont palpables, avec des comportements déconcertants de la part des accusés.

Lors de ce procès ayant déjà fait couler beaucoup d'encre, un autre aspect controversé émerge : la diffusion de vidéos de viol lors des audiences.

Récemment, il a été décidé que ces projections se dérouleraient à huis clos, sans la présence des journalistes ni du public.

Une réflexion sur le traitement des cas de violences sexuelles.

Ce procès soulève également des questions sur la manière dont la société traite les cas de violences sexuelles.

De nombreux experts et militants appellent à une réflexion profonde sur la représentation et le traitement des victimes dans les médias.

Comment équilibrer le besoin d'informer avec le respect de la dignité des victimes ? Ce dilemme reste au cœur des débats, alors que les témoins de ces atrocités prennent la parole pour la première fois.

Il est essentiel que la justice soit faite, non seulement pour les victimes mais également pour ne pas trivialiser des crimes aussi graves.