Rayan Cherki fait sensation au sein de l'Olympique Lyonnais depuis le début de la saison 2024-2025. Après avoir été mis à l'écart durant la préparation estivale, il a réussi à convaincre la direction de le conserver et depuis, il enchaîne les performances de haut vol. Avec 5 buts et 7 passes décisives en seulement 17 matchs toutes compétitions confondues, le jeune prodige a vu sa valeur marchande exploser, atteignant 30 millions d'euros selon Transfermarkt, soit une augmentation de 10 millions par rapport au début de la saison.

L'intérêt de la Premier League pour Cherki

Les clubs de la Premier League ne cessent de se disputer le talent de Cherki, capitalisant sur la situation difficile financièrement de l'OL. Bien que la direction lyonnaise ait réussi à prolonger son contrat jusqu'en juin 2027, ce qui lui donne un certain contrôle sur son avenir, cela pourrait ne pas suffire à les protéger d'une offre alléchante. Liverpool et Arsenal figurent parmi les prétendants, mais Tottenham, Newcastle et Chelsea ont également jeté leur dévolu sur lui.

Cherki lui-même a déclaré récemment qu'il préfère attendre la fin de la saison pour prendre une décision concernant son avenir. « Nous verrons à la fin de la saison si je suis toujours là ou non », a-t-il affirmé après la victoire de l'OL contre l'Eintracht Francfort. Cette déclaration ne fait qu'alimenter les rumeurs autour de son départ potentiel, surtout à mesure que la saison avance.

Il est à noter que Rayan Cherki, à seulement 20 ans, possède un potentiel exceptionnel qui attire non seulement les géants de la Premier League, mais aussi les clubs européens. Son style de jeu, alliant dribbles percutants et vision du jeu, séduisent les entraîneurs et les scouts à travers le continent. D'autres équipes d'élite en Espagne et en Italie surveillent également l'évolution de la situation. Rayan Cherki pourrait donc devenir l'un des transferts les plus suivis sur le marché lors de l'été 2025. Les fans de l'OL sont en émoi, espérant qu'il continuera à briller sous les couleurs lyonnaises, mais conscients qu'une offre des clubs anglo-saxons pourrait changer la donne.