C'est une soirée catastrophique que les supporters stéphanois ne seront pas prêts d'oublier. Vendredi, sur la pelouse de l'Allianz Riviera, l'ASSE a été broyée par l'OGC Nice 8-0, une défaite qui marque l'histoire du football français. Cette humiliation a été suivie par un chambrage hilarant du club niçois sur les réseaux sociaux, prouvant que la rivalité entre ces deux équipes atteint des sommets.

Durant ce match sans précédent, les joueurs de Saint-Étienne ont rapidement perdu pied, accusant 6 buts dès la mi-temps. La frustration était palpable, au point que les supporters ont commencé à quitter les tribunes avant même que l’arbitre ne siffle la fin de la première période. Après le coup de sifflet final, l'ASSE a tenu une réunion d'urgence dans son vestiaire, soulignant la gravité de la situation.

Peu après le match, le compte Twitter officiel de l'OGC Nice a mis en ligne une vidéo virale en reprenant une phrase emblématique d'une participante d'une émission de télévision, "Je ne suis pas venue ici pour souffrir, ok?" Cela a non seulement diverti les fans niçois, mais également provoqué la colère et la déception des Stéphanois qui ont vu cette moquerie comme une profonde piqûre dans leur orgueil.

Cette défaite de 8-0 est la plus sévère subie par l'ASSE depuis 1951, où ils avaient déjà encaissé 9 buts face à Bordeaux. L'entraîneur Olivier Dall'Oglio n'a pas caché sa désolation, exprimant une "honte" face à une telle performance calamiteuse, et a présenté ses excuses aux supporters déçus.

En marge de cette catastrophe sportive, il est intéressant de noter que l’ASSE lutte cette saison pour rester dans la ligue, avec plusieurs performances en demi-teinte et un moral au plus bas. Pendant ce temps, Nice, de son côté, semble frapper fort et pourrait bien se positionner comme un prétendant sérieux au titre.

Reste à savoir comment l’ASSE va se relever de cette désillusion. Sauront-ils trouver la force de rebondir ou continueront-ils de s’enliser dans cette spirale négative ? Les prochains matchs seront cruciaux, tant pour eux que pour leurs supporters qui espèrent un retournement de situation.