L'ASSE face à la tempête : Horneland prévenu des défis qui l'attendent
2024-12-26
Auteur: Louis
La récente défaite flamboyante de l’AS Saint-Étienne contre l’Olympique de Marseille en Coupe de France a secoué le monde du football, entraînant des réactions tranchantes, notamment celle du journaliste Daniel Riolo, qui n’a pas mâché ses mots pour critiquer la performance de l’équipe stéphanoise et a offert son soutien à Eirik Horneland.
Pour la deuxième fois en l’espace de quinze jours, les Verts se sont inclinés à Geoffroy-Guichard face à l’OM. Après une défaite 2-0 en championnat, l’ASSE a été littéralement écrasée dimanche dernier lors des 32es de finale avec un score fatal de 4-0. Cette tragédie est aggravée par l’expulsion rapide d'Ibrahim Sissoko, ayant reçu un carton rouge pour une faute violente sur Leonardo Balerdi.
Sur les ondes de RMC, Daniel Riolo n’a pas hésité à exprimer ses préoccupations concernant l’état actuel de l’ASSE. Il a été particulièrement acerbe en affirmant : « Une belle équipe de pipes ! Je ne sais pas comment Horneland va réussir à les remettre en ordre, car ils semblent complètement immobiles, comme des pantins ! » En ce qui concerne le carton rouge de Sissoko, Riolo a ajouté : « C’est d’une bêtise incroyable ! »
La critique de Riolo ne s’est pas arrêtée là. Il a également déploré le manque de vigilance et d’intelligence de Sissoko sur le terrain, soulignant qu'il aurait dû mieux connaître son adversaire et agir en conséquence. Il a insisté sur le fait que l'équipe doit redoubler d’efforts sous la houlette de leur nouvel entraîneur, Eirik Horneland.
Les défis qui attendent l’ASSE ne se limitent pas uniquement à changer de mentalité, mais également à regagner la confiance des supporters. Les fans espèrent voir une amélioration tangible dès le 4 janvier prochain avec la réception du Stade de Reims en Ligue 1. La pression est désormais sur Horneland pour transformer cette équipe en un collectif performant capable de se battre pour chaque point. Les amateurs de football de Saint-Étienne retiennent leur souffle, attendant un renouveau qui semble urgent.