Un séisme scientifique sans précédent

Depuis l'arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche, la recherche et l'enseignement supérieur aux États-Unis subissent des secousses déstabilisantes. Didier Samuel, PDG de l’Inserm, décrit ce phénomène comme "une attaque frontale contre la recherche biomédicale", un véritable blitzkrieg. Les nouvelles s’assombrissent semaine après semaine, laissant entrevoir un futur particulièrement inquiétant.

Les conséquences alarmantes pour la science

Antoine Petit, dirigeant du CNRS, partage ce constat : "La science mondiale est déjà en péril sur plusieurs thématiques cruciales comme l’environnement et la santé publique." Les coupes budgétaires impactent gravement les pays en développement, compromettant ainsi les efforts de prévention. La dépendance globale envers les États-Unis semble avoir été sous-estimée. Qui aurait pu prévoir, il y a un an, que l’ouragan Trump balayerait les collaborations scientifiques internationales?

Un coup dur pour la recherche climatologique

Récemment, la Maison Blanche a annoncé une décision choquante : le projet de fermeture du centre de recherche de la NOAA, l’une des institutions les plus influentes dans l’étude des climats, des prévisions météo et des ressources maritimes. Les pertes d'emplois dans des agences comme la NOAA, la NASA et les National Institutes of Health (NIH) sont déjà en milliers, mettant en péril des carrières et des projets fondamentaux. Les universités, elles aussi, ressentent cet impact désastreux.

Un appel à la mobilisation internationale

Il est crucial que la communauté internationale se mobilise face à cette montée des tensions et à la mise en danger des sciences. Face à ces défis, la collaboration interdisciplinaire et la solidarité entre les pays pourraient bien être les clés pour préserver l'avenir de la recherche scientifique et des avancées humaines. Les yeux du monde restent rivés sur les États-Unis, espérant un retour à la raison et au soutien des sciences.