Divertissement

« Je déteste Taylor Swift ! » : Donald Trump s'emporte contre la superstar qui soutient Kamala Harris

2024-09-15

Le climat politique aux États-Unis devient de plus en plus électrique, et l'ancien président Donald Trump ne fait pas exception. En réponse au soutien affiché de Taylor Swift envers Kamala Harris, Trump a craché sa frustration, affirmant qu'il "détestait" la célèbre chanteuse de pop. Ce coup de colère est survenu dans le contexte de la campagne présidentielle américaine, à l'approche du scrutin du 5 novembre.

Lors des MTV Video Music Awards, Taylor Swift avait profité de l'occasion pour exhorter ses millions de jeunes admirateurs à s'inscrire pour voter. Le 10 septembre, après le débat télévisé entre Trump et Harris, la star de 34 ans avait publié sur Instagram son soutien à Harris, la qualifiant de "dirigeante douée et solide" qui "se bat pour les causes et les droits auxquels je crois".

Cette annonce a eu un impact immédiat : selon plusieurs sources, le site Vote.com a enregistré une augmentation significative de la fréquentation, avec plus de 400 000 visiteurs cherchant à s'inscrire pour voter. Ce chiffre illustre l'influence considérable que Swift exerce sur la jeune génération. Certains experts estiment même que son appel pourrait changer la dynamique des élections, en mobilisant une frange de l'électorat qui reste souvent indifférente aux scrutins.

Dans un pays où la politique et la culture pop s'entrelacent de manière inextricable, le soutien de célébrités telles que Taylor Swift à un candidat peut avoir des conséquences réelles. En conséquence, la réaction virulente de Trump souligne non seulement sa propre insécurité, mais aussi l'importance croissante de l'engagement civique dans le paysage politique américain.

Alors que la campagne électorale continue de s'intensifier, il sera intéressant de voir comment cette rivalité entre Trump et Swift se développera. Abordera-t-il plus de critiques à l'encontre d'autres figures publiques qui prennent position, ou tentera-t-il de gagner le soutien des jeunes électeurs en dépeignant Swift comme une menace à la démocratie ? Une chose est sûre : cette guerre des mots n'est pas prête de se terminer.