Nation

François Bayrou : la Gauche s'en prend à lui avant le vote crucial du 8 septembre !

2025-08-31

Auteur: Chloé

Un appel à l'unité face à l'opposition

Ce dimanche 31 août, François Bayrou, le Premier ministre, a tendu la main à la gauche et à d'autres oppositions, mais le pressentiment général n'est pas à la collaboration. "Je ne dirai pas 'au revoir' aux Français", a-t-il affirmé, défiant ceux qui souhaitent tourner la page à l'occasion du vote de confiance prochain.

Défense acharnée de ses choix budgétaires

Dans son interview, Bayrou a vigoureusement défendu ses décisions financières, réfutant l'idée d'un gouvernement en déroute. Les opposants ont constamment critiqué sa politique, exigeant un tournant plus audacieux. "Si le gouvernement tombe, cela signifie un changement de cap", a-t-il martelé, soulignant l'approche moins stricte des autres partis.

Des piques à l'encontre du Parti Socialiste

L'ancien maire de Pau n'a pas épargné le Parti socialiste, dénonçant leur proposition de diminuer le déficit de 21,7 milliards d'euros d'ici 2026 comme étant trop timide. "C'est un manque d'ambition pour la réduction de la dette !", a-t-il déclaré, provoquant un tollé parmi ses opposants.

Une réaction immédiate de la gauche

La réplique de la gauche ne s'est pas fait attendre. Olivier Faure, le leader du PS, a qualifié Bayrou de "pathétique", tout en contrant ses accusations sur sa disponibilité pendant l'été. D'autres élus de gauche, comme Manon Aubry, se sont également moqués de la déclaration de Bayrou, soulignant l'ironie de son appel à changer de politique.

Un vote déterminant à l'horizon

La pression monte alors que le vote de confiance du 8 septembre se rapproche. Des personnalités politiques de gauche comme Clémentine Autain s'indignent du discours qui accuse les générations futures de devoir rembourser la dette, affirmant que ce sont les classes populaires qui souffriront de coupes budgétaires immédiates.

Une porte ouverte mais des réponses incertaines

Alors que Bayrou a invité les chefs de parti à dialoguer, il semble que la majorité des dirigeants de gauche déclineront son offre. Dans le même temps, le président devra réfléchir à un changement de ministre, avec déjà plusieurs noms qui circulent pour le remplacer.