L'investiture de Donald Trump a déclenché une vague de réactions à travers le monde, particulièrement en Europe. Viktor Orban, le Premier ministre hongrois et allié proche de Trump, a partagé son enthousiasme sur le réseau social X : « Félicitations au président @realDonaldTrump ! Maintenant, c'est à notre tour d’occuper Bruxelles ! » Cette déclaration illustre l'essor du nationalisme en Europe, autour de la vision de Trump pour les États-Unis.

Orban a rencontré Trump à plusieurs reprises, et leur amitié s'est construite sur un terreau commun, leur mépris partagé pour les élites et leur opposition à l'immigration. Ils appellent également à une résolution rapide du conflit en Ukraine, à travers une critique ouverte de l'envoi d'aide militaire à Kiev par l'administration précédente.

En coulisses, plusieurs changements s'opèrent au sein du gouvernement de Trump. Vivek Ramaswamy, dont le rôle dans la création du nouveau Département de l’Efficacité Gouvernementale (DOGE) a été salué, va se lancer dans la course pour le poste de gouverneur de l’Ohio. Sa décision, qui n’est pas surprenante étant donné son engagement politique depuis 2016, pourrait influencer les élections à venir dans cet État crucial.

Concurrente à toutes ces manœuvres, plusieurs syndicats américains, dont le principal représentant des fonctionnaires, contestent la légitimité de DOGE devant les tribunaux. Ils réclament une représentation équilibrée et transparence dans les travaux de la commission. Les inquiétudes concernant le secret entourant les opérations de DOGE durant la période de transition transparaissent, soulevant des questions sur l’intégrité du nouveau gouvernement.

Dans un geste préventif et audacieux, Joe Biden a accordé une grâce à Mark Milley avant de quitter ses fonctions, mettant en lumière les relations tumultueuses entre Trump et ses anciens collaborateurs militaires. Ce cadre indique que les tensions internes au sein de l'administration pourraient continuer à créer des frictions.

Donald Trump, lors de la cérémonie, a été acclamé par des milliers de partisans au Capitole et a débuté ses activités par une revue des troupes. Un moment poignant où un jeune lycéen, fier de participer à cet événement historique, a déclaré : « C’était très important pour moi d’être ici et de voir cette page de l’histoire se tourner. »

Les relations internationales, un sujet que ce jeune souhaite voir réformé, sont au cœur des préoccupations de nombreux citoyens américains. Beaucoup estiment que les États-Unis doivent retrouver un statut de respect et de crainte sur la scène mondiale.

Un soutien inattendu a été apporté par Elon Musk, qui a fait une apparition surprise lors d’une réunion de campagne et a promis aux partisans de les emmener sur Mars, déclarant : « Ça va être fantastique ! » Son intervention a suscité des interrogations sur le symbolisme de certains de ses gestes, notamment celui qui évoquait des salutations historiques controversées, conduisant certains médias à s'interroger sur les implications de tels gestes sur la société actuelle.

Enfin, Trump a esquivé le mot "Ukraine" pendant ses discours, affirmant que le succès ne devrait pas seulement se mesurer aux batailles gagnées, mais aussi à celles évitées. Ce choix de mots pourrait être interprété comme un message préparatoire envers ses futures décisions sur des conflits internationaux.

En somme, l'investiture de Donald Trump ne marque pas seulement un nouveau chapitre de sa présidence, mais déclenche un débat national majeur sur des questions cruciales comme le nationalisme, les relations internationales et la transparence gouvernementale. Restez connectés pour suivre les prochains développements !