Monde

Elon Musk choque encore avec un post controversé sur Hitler, Staline et Mao

2025-03-16

Auteur: Léa

Dans une nouvelle controverse qui fait déjà le tour des réseaux sociaux, Elon Musk a récemment partagé un message sur la plateforme X (anciennement Twitter) qui a suscité l'indignation de nombreux internautes. Le magnat de la technologie, au cœur des discussions politiques depuis ses liens avec Donald Trump, a relayé un post au contenu particulièrement alarmant concernant trois des dictateurs les plus notoires du XXe siècle : Adolf Hitler, Joseph Staline et Mao Zedong.

Le message affirmait que « Staline, Mao et Hitler n'ont pas assassiné des millions de personnes. Ce sont leurs employés du secteur public qui l'ont fait ». Bien que Musk ait rapidement supprimé cette publication, elle n'est pas passée inaperçue auprès de ses 220 millions de followers, provoquant une vague de réactions critiques.

Des voix se sont élevées, notamment celle de l'Anti-Defamation League, qui a qualifié ces propos de « profondément troublants et irresponsables ». L’organisation a souligné que de tels discours peuvent minimiser l'horreur des atrocités historiques et risquent de normaliser une rhétorique dangereuse dans un contexte où l'on observe une résurgence inquiétante de l'antisémitisme et d'autres formes de haine.

Cette polémique a également ravivé des débats plus larges sur le rôle des personnalités publiques dans la diffusion de messages problématiques. De nombreux utilisateurs de X ont exprimé leur inquiétude quant à l'impact que de telles déclarations peuvent avoir sur la perception publique de l'histoire et des réalités contemporaines.

Elon Musk, à travers ses actions controversées, continue de susciter des discussions tant sur son influence sur les réseaux sociaux que sur les responsabilités des figures médiatiques dans la conduite du discours public. Alors que la société se remet encore de l'impact des discours de haine sur la scène mondiale, il est essentiel d'aborder ces questions avec sensibilité et discernement. Nul doute que cette situation continuera de faire l'objet de débats alimentés par de nouvelles publications et réactions sur les réseaux sociaux.