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Guerre en Ukraine : un militaire russe a été tué, mercredi 13 novembre, dans l'explosion de sa voiture piégée à Sébastopol, en Crimée. Cette action a été qualifiée par une source ukrainienne de "réussite" des services de sécurité de Kiev, visant un officier décrit comme "criminel de guerre". Il aurait ordonné des bombardements sur des cibles civiles en Ukraine, selon les informations rapportées.

Dans le même temps, les États-Unis ont confirmé la présence de soldats nord-coréens aux côtés des forces russes sur le front. Le secrétaire d'État Antony Blinken a exprimé la nécessité d'une réponse ferme face à l'engagement nord-coréen, surtout avec les rumeurs de retour de Donald Trump à la présidence. Les autorités américaines ont affirmé que plus de 10 000 soldats nord-coréens avaient été déployés sur le terrain, avec l'objectif de soutenir les opérations russes dans la région de Koursk, actuellement partiellement occupée par les forces ukrainiennes.

Par ailleurs, une alerte aérienne a été déclenchée dans tout le pays, suite à des mouvements de bombardiers russes détectés, avec des frappes signalées à Kiev et dans ses environs. Le maire de Kiev, Vitali Klitschko, a appelé la population à se rendre dans des abris, tandis que plusieurs explosions ont été entendues, causant au moins un blessé à Brovary, une ville proche de la capitale.

La tension monte encore alors que l'Ukraine se prépare à riposter face à cette escalade militaire, et les responsables ukrainiens restent vigilants aux agressions russes.