Un Séisme à la Maison-Blanche

L'administration Trump vient de subir un coup de pluie sauvage à sa sécurité d'information, révélée par nos confrères de 404media. Des membres de la Maison-Blanche ont été victimes d'une cyberattaque majeure !

TeleMessage, un Risque Inacceptable

La semaine dernière, une image capturée par Reuters a fait des vagues : le conseiller à la sécurité nationale, Mike Waltz, utilisait TeleMessage, une application non officielle basée sur Signal, pour échanger des messages avec des figures importantes du gouvernement. On y voit même le vice-président JD Vance dans la mêlée !

Développée par une entreprise israélienne, TeleMessage modifie des applications de messagerie populaires comme WhatsApp et Telegram. Malheureusement, ces versions clonées ne présentent pas le même niveau de sécurité que les versions officielles, car elles stockent toutes les communications sur leurs propres serveurs.

Une Cyberattaque Éclair

Dans la foulée de cette photo compromettante, un hacker audacieux a révélé avoir piraté les serveurs de TeleMessage en moins de 20 minutes ! Contacté par 404media, il a indiqué avoir facilement récupéré des conversations sensibles et des informations personnelles de fonctionnaires et de politiciens américains. Pire encore, il a accès à des identifiants de connexion, ce qui ouvre la voie à des abus alarmants.

La fuite ne s'arrête pas là : des données d'employés de la douane et de la police de Washington, ainsi que des informations sur des travailleurs d'entreprises comme Coinbase, sont également compromises. Cela remet en question la sécurité de TeleMessage, qui prétend pourtant respecter le protocole de sécurité de Signal.

Un Hacker au Grand Cœur ?

Heureusement pour les concernés, le hacker n'a pas l'intention de divulguer publiquement ces données sensibles. Son but ? Tester la capacité de TeleMessage à protéger les conversations.

« Si j'ai pu accéder à cela en moins de 30 minutes, imaginez combien d'autres le pourraient ! » s'inquiète le pirate.

Réaction de TeleMessage

Suite à cette brèche de sécurité, TeleMessage a reconnu avoir subi un « incident de sécurité potentiel » et a suspendu temporairement tous ses services par précaution. Signal, de son côté, a rappelé qu'ils ne peuvent garantir la sécurité des versions non officielles.

Des Têtes Vont Tomber

La tempête n’est pas prête de se calmer : Mike Waltz a été récemment remercié de son poste, surtout après avoir été critiqué pour avoir utilisé Signal pour des discussions top secrètes avec des proches de Trump. Des erreurs, dont l'ajout involontaire du rédacteur en chef de The Atlantic à une conversation sensible, ont conduit à sa chute.

Donald Trump a tenu à le défendre, affirmant que Waltz avait toujours placé les intérêts de la nation en premier, mais cela n'a pas suffi.

Des Conséquences Sur l’Avenir Numérique

Cette cyberattaque met en lumière des questions cruciales sur la sécurité des communications gouvernementales. À l'ère numérique, où les données sont des cibles privilégiées, il est impératif que les responsables prennent des mesures rigoureuses pour protéger les informations sensibles.

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