"C'est tous des cons, les écoute pas" : Le jour où Catherine Deneuve a soutenu Bambou dans les toilettes
2024-11-05
Auteur: Léa
Dans un récit touchant de son autobiographie, "Pas à pas dans la nuit", publiée le 7 novembre, l'ancienne mannequin Caroline Elisabeth Paulus, connue sous le nom de Bambou, partage des moments intimes de sa vie, y compris sa romance tumultueuse avec le célèbre chanteur Serge Gainsbourg. Lors d'une apparition sur France Inter, elle a évoqué les difficultés qu'elle a rencontrées dans le monde du show-business, en particulier à cause de la différence d'âge de 36 ans avec Gainsbourg.
Bambou a révélé qu’à de nombreuses occasions, elle a reçu des commentaires blessants et des insultes, la réduisant au statut de "camée". "Pour eux, je ne suis qu'une camée de plus qui cherche à profiter de Serge", raconte-t-elle, mettant en lumière les préjugés dont elle a souffert.
Une soirée marquante, qu'elle décrit dans son livre, s'est déroulée lors d'un dîner où elle a craqué sous la pression des moqueries. Elle a alors quitté la table pour se réfugier dans les toilettes. C’est à ce moment-là que Catherine Deneuve, l'icône du cinéma français, est venue à sa rescousse. Elle lui aurait dit : "C'est tous des cons, les écoute pas". Ces mots réconfortants ont eu un impact profond sur Bambou et l'ont aidée à surmonter les critiques.
Le récit de sa rencontre avec Gainsbourg est tout aussi captivant. Lors d'une soirée à Paris, Bambou a d'abord rejeté les avances du célèbre chanteur, disant : "Qu'il aille se faire foutre ce vieux con". Cependant, elle a vite été charmée par son humour et sa personnalité. "Dès que je l'ai rencontré, il a laissé tomber l'homme showbiz et il est devenu l'être humain que peu de gens connaissent", a-t-elle confié, soulignant la profondeur de leur relation loin des projecteurs.
Bambou, en partageant son histoire, aspire à montrer que derrière chaque visage célèbre se cachent des luttes personnelles et des vérités profondes. Avec son autobiographie, elle espère inspirer d'autres personnes à ne pas laisser les jugements extérieurs définir qui elles sont.