
Blocages à venir : 100.000 participants mobilisés pour le 10 septembre !
2025-09-03
Auteur: Sophie
Une journée de contestation en perspective
Le 10 septembre s'annonce comme une date clé avec près de 100.000 personnes prêtes à monter au créneau lors du mouvement intitulé "Bloquons tout". Selon une note exclusive des services de renseignement territorial, des formes variées de protestation, y compris des actions de sabotage, sont à prévoir.
La mobilisation monte en puissance
À l'approche de cette journée décisive, les appels à rejoindre ce mouvement citoyen se multiplient. Ce mouvement, qui exprime un fort mécontentement vis-à-vis du gouvernement et du président, est organisé à travers des réunions de préparation dans les départements.
Blocages massifs annoncés
Les services de renseignement craignent des blocages significatifs, visant à paralyser certaines activités du pays. Environ quarante manifestations sont attendues dans les rues, ainsi qu'une vingtaine d'opérations de "blocage de l'économie". Les cibles principales incluront dépôts pétroliers, plateformes logistiques, universités, aéroports, et voies ferrées. Les experts redoutent également des sabotages, en particulier contre des infrastructures comme les radars routiers.
Une dynamique amplifiée par l'extrême gauche
Bien que des figures issues du mouvement des Gilets Jaunes aient rapidement soutenu cette initiative, la tendance semble être principalement portée par l'extrême gauche. Le nombre de participants affiliés à cette mouvance augmente, notamment à travers les réseaux sociaux.
Une diversité de voix dans la contestation
Malgré une forte présence d'organisations radicales, il est important de noter que des voix apolitiques, comme des groupes féministes et des militants pro-palestiniens, rejoignent aussi ce cri de ralliement. Deux associations ont même lancé des appels pour inciter la population à participer.
Incertitudes et craintes au sein des autorités
Les services de renseignement expriment des doutes concernant le degré d'implication de la société civile. Ils notent également une structure de coordination qui manque de clarté. De plus, il semble que de nombreux salariés privilégient une mobilisation ultérieure, le 18 septembre, par crainte de croiser des militants plus radicaux lors des manifestations.