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Attaque meurtrière à La Nouvelle-Orléans : Le FBI ne trouve pas de complice pour l'instant

2025-01-02

Auteur: Jean

Une nuit de célébration tragique. Le 1er janvier, un ancien militaire américain a fait irruption avec sa voiture dans une foule célébrant le Nouvel An dans le quartier français de La Nouvelle-Orléans, tuant au moins 15 personnes et blessant plus d'une trentaine d'autres. Le suspect, identifié comme Shamsud-Din Jabbar, âgé de 42 ans, aurait été inspiré par le groupe État islamique selon les révélations du FBI.

Lors d'une conférence de presse récente, Christopher Raia, un responsable du FBI, a déclaré qu'il n'y avait pas de preuves à ce stade indiquant que d'autres personnes étaient impliquées dans cette attaque, privilégiant l'hypothèse d'un individu agissant seul. Shamsud-Din Jabbar a été abattu par les forces de l'ordre après avoir commis son acte horrible.

D'après les informations fournies par le FBI, Jabbar a exprimé dans des vidéos qu'il avait "rejoint l'État islamique cet été", et un drapeau de l'organisation terroriste a été retrouvé dans son véhicule. En outre, il a été découvert qu'il avait préparé deux bombes artisanales ainsi que des dispositifs de simulation.

L'attaque a soulevé des inquiétudes concernant d'éventuelles connexions avec d'autres incidents, notamment une explosion survenue à Las Vegas le même jour. Les deux véhicules utilisés dans ces incidents avaient été loués via l'application de covoiturage Turo, mais aucune liaison n'a encore été confirmée par les autorités entre ces deux événements.

Le tragicité de l'événement est exacerbée par la prise de conscience que les barrières de sécurité du quartier, qui auraient pu empêcher cet accès, étaient en révision lors de l'incident, ce qui a permis au suspect de s'introduire facilement dans la foule. Des enquêtes approfondies sont actuellement en cours, mobilisant plus de mille agents de police et de sécurité.

Les répercussions de cet acte violent continuent de se faire sentir, alors que des funérailles pour les victimes sont prévues dans les jours qui viennent. Ce drame met également en lumière les problématiques de la radicalisation et de la sécurité publique dans les grandes villes américaines.

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