Le cyclone Chido a récemment frappé l'île de Mayotte avec une force dévastatrice, soulevant des inquiétudes concernant le nombre de victimes. Les premiers rapports indiquent que les pertes humaines pourraient être bien plus importantes que les prévisions initiales. Les thèses vont bon train avec des déclarations contradictoires sur le nombre de morts, certaines sources évoquant des «dizaines» tandis que d'autres parlent de «milliers».

Les autorités locales, encore en phase d'évaluation des dégâts, ont exhorté les habitants à rester prudents et à suivre les consignes de sécurité. Les infrastructures ont été gravement touchées, avec des routes coupées, des maisons détruites et un accès difficile aux services de secours. Les équipes de secours redoublent d'efforts pour secourir les plus vulnérables, mais les conditions météorologiques compliquent leurs missions.

De plus, les témoignages des résidents décrivent des scènes de chaos et de solidarité, où les voisins s'entraident pour retrouver des proches et partager des ressources. Les efforts internationaux pour fournir aide et soutien se mettent en place, plusieurs pays ayant déjà offert leur assistance pour venir en aide aux victimes.

Chido reste un douloureux rappel des effets du changement climatique sur les îles fragiles, et ce cyclone n'est qu'un exemple parmi tant d'autres dans un monde de plus en plus en proie à des phénomènes météorologiques extrêmes. La communauté internationale doit se mobiliser pour aider Mayotte à se reconstruire, mais aussi pour prévenir de futures catastrophes par des mesures d'atténuation du changement climatique.